samedi 17 septembre 2011

CAROLINE CASEY

Pour ceux qui comprennent l'anglais, rencontrez une femme inspirante:


Et dans la même lancée, voici Burt Goldman :

LE CANCER DANS LES VACCINS

Dans cette vidéo (entrevue censurée), le docteur Maurice Hilleman, un scientifique qui a développé des vaccins chez Merck, explique que, dans les années 1960, les vaccins contenaient jusqu'à 40 virus différents qui n'avaient pas été déactivés et que certains d'entre eux donnaient le cancer (SV40).

L'interview commence par cette question à Hilleman: "Comment avez-vous découvert qu'il y avait le virus SV40 dans les vaccins de la polio ?"

Hilleman raconte l'histoire (1952-1962) et ce qui est aussi choquant, est lorsque Hilleman dit que le virus du SIDA a été importé dans des singes d'Afrique qui lui servaient de cobayes, les gens qui l'interviewent se mettent à rire d'amusement en disant : "qu'est-ce que Merck ne ferait pas pour développer des vaccins". Plus tard, ils se sont encore mis à rire, absolument satisfait ("I love it") d'apprendre de la part de Hilleman, que les vaccins contiennent des virus, certains étant indétectables, qui donnent le cancer. Ils sont aussi amusés d'apprendre qu'on a testé les vaccins sur des millions de russes qui allaient fort probablement se retrouver avec des tumeurs cancéreuses.

Notez que l'épidémie de SIDA a commencé à la fin des années 1970.


La vidéo précédente est un extrait de ce documentaire "In Lies We Trust". L'extrait est à 2h00m.

LA NASA DIT : NOUS NE SAVONS PAS CE QUE C'EST !


CANCER DU SEIN : HAUSSE DE 260%

À partir des registres du cancer, des chercheurs ont évalué l'augmentation des cas de cancers du sein comparés à 1980 et ont annoncé une hausse de 260 %. Malgré des décès moins nombreux en proportion, grâce au dépistage, l'incidence du cancer du sein augmente toujours.

Le nombre des cancers du sein a connu une forte hausse en trente ans, avec une estimation de 640.000 nouveaux cas en 1980 et de 1,6 million en 2010 (+260 %), dont la moitié dans des pays en voie de développement, selon une étude publiée en ligne par la revue britannique The Lancet.
(...)
Futura-Sciences

BISPHÉNOL A
Comme le nonylphénol, le bisphénol A est un perturbateur endocrinien œstrogéno-mimétique capable de se lier au récepteur α des œstrogènes. Son action serait environ 1 000 fois inférieure à celle de l’œstradiol, mais il est très présent dans notre environnement (environ trois millions de tonnes de BPA sont produites chaque année dans le monde8) et dans le corps humain.

Le bisphénol est surtout utilisé pour tapisser l'intérieur de certaines boîtes de conserve, de canettes (principales sources d'exposition pour l'homme).

En tant que révélateur de la coloration à l’impression, le Bisphénol A est présent sous forme libre dans un grand nombre de tickets de caisse ou des reçus de cartes de crédit (papier thermique).
Le bisphénol était utilisé pour la fabrication des biberons, ce qui a été interdit pour des raisons sanitaires au Canada et le 23 juin 2010 en France (après proposition du Sénat en mars 2010, dans le cadre du projet de loi Grenelle 2)9.

En Belgique une proposition de loi (19 mai 2011) a été déposée au Sénat de Belgique visant à interdire le bisphénol A dans les tickets de caisse et reçus de carte de crédit.


BISPHÉNOL A - DANGER INCOLORE ET INODORE
(...) Quels sont les effets secondaires de son utilisation sur notre santé ? Depuis 2008 réellement, les scientifiques ont alerté l’opinion sur les dangers de cette substance. En effet, il a été observé que les personnes ayant un fort taux de BPA dans le sang étaient plus sujettes:
- aux maladies cardiovasculaires
- au cancer de la prostate
- au cancer du sein
- aux malformations génitales
- à l’infertilité
- au diabète
- aux cirrhoses
Sans compter les effets sur le système nerveux des fœtus et des enfants. Le BPA agissant tel un perturbateur endocrinien, cela se traduirait par une puberté précoce chez les garçons, une baisse de la production de la testostérone et des lésions mammaires précancéreuses chez les filles.

VIDÉO :
Bisphenol A - La mort par le plastique